Quoi de neuf dans la Plaine ?
Quoi de neuf ?
Les cancers du col de l’utérus sont principalement dus à une infection persistante (d’une durée de 10 à 15 ans) par des virus appelés papillomavirus humains (virus du papillome humain ou HPV, abréviation de human papillomavirus) et transmis par voie sexuelle.
L’infection par un virus HPV est très courante (80 % des adultes ont une infection à HPV au cours de leur vie) et guérit le plus souvent spontanément. Mais dans 10 % des cas, le virus persiste au niveau de la muqueuse du col utérin et, s’il s’agit d’un HPV dit « à haut risque », il peut alors provoquer des modifications de l’épithélium du col de l'utérus, appelées lésions précancéreuses, susceptibles d’évoluer vers un cancer.
Le dépistage permet de détecter la présence du virus ou d'anomalies des cellules du col de l'utérus et donc de les traiter avant qu’elles n’évoluent en cancer ou de diagnostiquer des cancers à un stade précoce et ainsi d’améliorer les chances de guérison.
Le dépistage du cancer du col de l'utérus est proposé à toutes les femmes âgées de 25 à 65 ans, sauf indication contraire du médecin chez votre médecin, gynécologue ou sage femme.
Consultez le site de l’Institut national du cancer dédié au dépistage du cancer du col de l'utérus.
Un kit d'auto prélèvement peut vous être proposé par votre médecin si l'accès à un rendez vous en cabinet est impossible.
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En présence de facteurs de risque de passage à la chronicité ou en cas de lombalgie chronique, il convient d’orienter le patient vers la kinésithérapie. En effet, l’exercice physique est le traitement principal qui permet une évolution favorable de la lombalgie.
Le kinésithérapeute participe au maintien ou à la reprise rapide de l’activité physique au travers de programmes d’exercices supervisés adaptés à la situation clinique du patient. Pratiqués en groupe ou en individuel, le plus important est que ces exercices fassent appel à la participation active du patient qui pourra les reproduire à domicile, en limitant notamment les méthodes passives. Le kinésithérapeute rassure également sur l’évolution favorable tout au long de la rééducation du patient et contribue à son éducation.
A Contrexéville, des ateliers en groupe sont mis en place pour accompagner le patient. A partir de septembre, un nouveau groupe est formé sur Neufchâteau.
Pour plus de renseignements, veuillez contacter la CPTS par mail
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